samedi 18 septembre 2010

Argonay ne soutien pas le champion d'europe de rampe


En choisissant de détruire la mega-rampe d'Argonay les élus ont décidé de ne pas soutenir Jean Postec et Terence Bougdour



Jean est CHAMPION d'EUROPE qui s'entraine régulièrement avec le célèbre Tony Hawk est professionnel chez Birdhouse, Terence fait parti de l'élite Européenne et participa aux célèbres championnats x-games aux USA.

Cette structure qui a été la première du genre installée en France et en Europe ne sera pas réparée et nos champions n'auront plus de lieu d'entrainement.

D'ailleurs Jean Postec a été vu à Aix en provence, bien loin de la Savoie, chez Bruno Rouland (ancien champion de France) qui dispose dans son jardin d'une grande rampe.

Cette attitude des politiques est un réele affront pour le milieu du skateboard qui souffre d'une image de sport pour ado. Sport ou les prize money se chiffrent en dizaine de milliers d'euros lors des compétitions, ou les meilleurs des disciplines de courbes ont la trentaine, voire la quarantaine bien tassée.

Mais que fait la France?????



Plus de skate a Argonay : la Mairie va démonter la rampe

Vu sur www.sk8.net

‘La mairie a fait poser un panneau signalant l’interdiction d’accès au module, et ceci jusqu’à la DESTRUCTION (en majuscule aussi sur le panneau) de la rampe.’

« N’empêche qu’une fois de plus le skate est pris pour un truc de charlots. Les 2 meilleurs ramp-riders français roulaient à Argonay et la mairie trouve pas mieux que de détruire leur seul lieu de pratique. »

vendredi 17 septembre 2010

Astuss, une association qui fait le bon choix


http://astuss-skate81.blogspot.com/

Astuss est une associaition hyper dynamique dans le 81. En plus de mener de supers concerts et évènements de qualité, construire leur propres spots, les voilà force de proposition pour un skatepark en béton novateur.
On regrette le demi bowl un peu léger, pas très haut. Les membres de l'association, vu leur niveau risquen de s'y ennuyer rapidement mais le reste permet de multiples lignes.....Le tout sur un béton qui sera certaienment bien lissé et sécurisé.

mercredi 1 septembre 2010

Blois : De la dure vie du skateur dans la ville !



Entre un skatepark inutilisable et une interdiction de faire de la planche à roulettes à la Halle aux grains, les skateurs glissent toujours dans une impasse.

L'architecture de la place de la Halle aux grains se prête bien à la pratique du skateboard. - - Photo NR Comme presque chaque fin d'après-midi, Jérémy, 16 ans, s'essaye à différentes figures aux alentours de la Halle aux grains. Ce skateur débutant sait qu'un arrêté municipal interdit les places de la République et Jean-Jaurès aux planches à roulettes. Mais, avec ses bancs, marches et autres rebords, le lieu reste le repère privilégié des skateurs blésois. « D'un côté, on se fait verbaliser (NDLR : l'amende est de 11 €), de l'autre, on a nulle part où aller », dénonce Aymeric Nocus, skateur depuis dix ans et vendeur au skateshop Mighty Moe.
Vers un nouveau skatepark ?

Il y a bien un skatepark en Vienne, mais adeptes de la glisse comme habitants s'accordent à dire que le site, construit en 2004, est « dégradé », « pas adapté », « impraticable », et même « dangereux. » Et « trop excentré. Du coup, personne n'y va », constate Jérémy.
Blois a donc encore du pain sur la planche. La municipalité en est consciente et un nouveau projet de skatepark serait dans les tuyaux. « Plusieurs pistes sont étudiées et pourraient être envisagées », note avec prudence Bernard Mériel, adjoint au maire chargé des sports. Le futur palais des sports de l'îlot Laplace semble la piste « la plus sérieuse. » En attendant confirmation, les pro skatepark ne relâchent pas la pression. Le groupe Facebook, « pour ceux qui veulent un nouveau skatepark à Blois » regroupe 459 membres et une pétition ayant recueillie plus d'un millier de signatures circule. Un skatepark oui, mais pas pour être parqué. Certains as de la glisse aimeraient que de petits spots soient disséminés dans divers endroits du centre-ville : un banc, une barre, une courbe contre un mur. Une solution au double avantage pour Aymeric : « Ça ne coûte presque rien et ça permettrait que tout le monde ne soit pas concentré au même endroit. »
Reste encore à faire évoluer les mentalités. « On comprend que le bruit puisse déranger, mais on en a marre du cliché skateur = vandale. Le skate est une activité positive qui permet de canaliser les jeunes », clame le jeune vendeur qui rêve d'une ville aménagée dans le style de Barcelone ou San Francisco. « Ça reste une activité de rue », insiste-t-il, reconnaissant qu'un skatepark n'empêchera pas les skateurs d'utiliser leur planche à roulettes à la Halle aux grains ou ailleurs. « Mais, au moins, on aura une alternative », souligne le jeune Blésois.

Stagiaire NR : Noémie Guillotin