mardi 29 décembre 2009

Décorticage d'un skatepark dangereux: Le Quesnoy dans le Nord

Le Quesnoy est une ville du Nord de la France qui fait partie de la communauté de commune du Quercitain. La commune dispose, comme beaucoup trop d'autres, d'un skatepark modulaire laissé à l'abandon par les pratiquants qui préfèrent se déplacer à Valenciennes au streetpark en béton. Nous les comprenons bien, par contre nous ne comprenont pas qu'une ville laisse ce genre de structure proche d'un étang et lieu touristique (il y a des remparts construite grâce à Vauban). Non seulement ce skatepark modulaire est obsolète et dangereux, mais sans le savoir le maire met en jeu sa responsabilité....explications, démonstrations...

1) Notez l'emplacement, un splendide parking inutilisé. Je me demande si les joueurs de tennis voisins apprécieraient que l'on installe un filet au milieu d'un parking et qu'on leur annonce que c'est leur terrain de jeu....





2) La barre de grind: entre la hauteur maximale de 60cm et les angles, c'est parfaitement inutilisable.











3) un classique: les jonctions au sol et entre plaque de plus de 1 cm qui doivent bien rapper en cas de chute.











4) la pyramide se déforme, la peinture adhérente saute.















5) le plan incliné avec un garde fou cassé, absolument interdit pour tout module de plus de 1m20 de haut.
Vous ne le voyez pas mais la structure est aussi très dangereuse, un enfant pourrait très bien aller en dessous du module et se blesser sur les partie saillantes de maintient.







En conclusion: Il vaut mieux rien avoir que risquer de blesser un enfant ou un pratiquant. LA ville de Le Quesnoy (59) aurait tout intérêt d'investir dans une structure de qualité, valorisante pour sa base de loisir. De plus inexcusable, il y a l'association abc skatepark qui est domicilée dans le nord.

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samedi 12 décembre 2009

Un skate-parc permanent intégré dans le paysage

Une démarche à lire absolument, on en veut plus souvent. Bravo!!!


Un skate-parc à Royan ? Il y en a déjà un, diront les observateurs. Il reste que la structure, obsolète, ne donne plus satisfaction. Et reste une source de nuisances sonores pour les riverains de la Tache Verte. Yannick Pavon, colistier (non élu) de Didier Quentin, président de Royan Hip-Hop, s'était fixé comme objectif de monter une structure pérenne dans la station balnéaire. Il touche au but.

Contact a été pris avec la société Constructo, qui a présenté son travail en deux temps. Une première fois devant la communauté des skateurs. Une seconde devant les élus référents, le député-maire Didier Quentin et son adjoint à la jeunesse et aux sports, Jean-Michel Denis. Un site a été retenu, près du lycée Cordouan.

Pourquoi Constructo ? « Ils sont à l'origine des plus beaux parcs français, commente Yannick Pavon. Ce sont des architectes spécialisés, qui pratiquent eux-mêmes la discipline. Les sites conçus par leurs soins ont un pouvoir d'attractivité énorme. Certains jeunes vont jusqu'à Couéron, à côté de Nantes, pour y accéder. »

Un lieu pour les jeunes

Le responsable associatif entend apporter une réelle plus-value à un tel dispositif. « Il n'y a pas de skate-parc de cette qualité en Charente-Maritime. Le plus souvent, au moment d'investir, les communes optent pour du modulaire à peu de coût. Ces structures vieillissent très mal et sont à l'origine de beaucoup de nuisances. Constructo conçoit des structures permanences complètement intégrées dans l'environnement. »

Constructo appuie de fait sur sa spécificité. « Nous réalisons des structures permanentes en béton, explique Stéphane Flandrin, l'un des deux fondateurs de la société. Ce sont des pièces urbaines intégrées. Nous souhaitons qu'elles ne soient pas seulement un équipement sportif mais un lieu social pour les jeunes. Nous avons présenté nos réalisations précédentes et fait des propositions. »

La réaction des adeptes du skate - toutes générations confondues - est positive, même si le doute persiste. « Ils ne souhaitent plus se contenter de belles paroles », sourit Yannick Pavon. La réaction des élus s'est cependant montrée à la hauteur de ses espérances. « Ils sont enthousiasmés. Didier Quentin souhaite aller au bout de ce projet. Il souhaite faire jouer à plein la réserve parlementaire pour contribuer à le financer. » La réaction de Jean-Michel Denis se veut cependant plus mesurée. « Ce projet existe, confirme-t-il. La société Constructo nous a donné des indications. Nous savons à quoi nous attendre en termes de coûts. Le dossier doit ensuite être monté. »

Inclus dans le site

La structure envisagée se développerait ainsi sur 650 à 700 m2, « mi-street, mi-courbe », pour un budget oscillant en 100 000 ? et 150 000 ?. « C'est un projet séduisant, explique Jean-Michel Denis. Dans la mesure où nous souhaitons une structure pérenne. Je souhaite par ailleurs qu'il y ait une association support pour gérer le lieu. » Un lieu qui se trouverait en synergie avec l'ensemble des structures voisines : écoles de musique et d'arts plastiques, lycée Cordouan, terrains de foot, espace squash, centre de loisirs...

« Plusieurs possibilités d'implantation avaient été étudiées, souligne Stéphane Flandrin. Sur la Tache Verte, site historique proche du centre-ville se posaient des questions liées à l'urbanisme, mais aussi à un conflit d'usage et aux nuisances sonores. Les jardins de la mer posaient également d'évidents problèmes de conflit d'usage. Le site retenu est accessible, idéal. Il permet en outre d'utiliser la topographie en incluant le site dans la pente par paliers. Un peu comme nous l'avons fait à Annecy. Il vaut mieux une structure plus petite et ramassée, mais fonctionnelle... »

Auteur : Philippe Belhache
p.belhache@sudouest.com

mardi 8 décembre 2009

82000 € pour le skatepark de Jouy Le Moutier


Inauguration du nouveau skate park à Jouy-le-Moutier, le 12 décembre à 14h (Rue Rossini).
Très attendue par les jeunes joccassiens, une nouvelle piste de skate vient d’être installée à Jouy-le-Moutier. Depuis fin novembre, les pratiquants de skate, roller, bmx, et trottinette peuvent enchaîner les figures sur ce nouvel équipement situé rue Rossini, sur le parking du gymnase des Merisiers.


Après une concertation avec les membres du conseil des jeunes et les skateurs jocassiens sur l’aménagement de ce nouvel espace sportif et des travaux sécurisation du site par les services de la direction du cadre de vie et du développement durable de la ville, les modules de la piste de skate ont été installé fin novembre. 100 % aluminium, normes de qualité NF et HQE, conception résistante, trois modules transportables (mini-rampe, chinbox, demi-pyramide avec marche et rail, quarter)… cet équipement fait sur-mesure, pour un montant global de 82 000 € TTC, a de quoi satisfaire ses utilisateurs !
Pour fêter ce nouvel équipement sportif, fédérateur de rencontres et d’échanges, Gilbert Marsac, Maire de Jouy-le-Moutier, Eric Lobry, Maire adgoint délégué au sport et l’équipe du service sport et jeunesse de la ville, ont le plaisir de vous convier à son inauguration, samedi 12 décembre à 14h. À cette occasion des jeunes joccassiens effectueront en musique de nombreuses démonstrations.

http://www.vonews.fr/article_8296

Hallucinant!!! de constater que l'on fait gober aux communes qu'un skatepark est de qualité HQE quant il est fait en aluminium.

D'ailleurs peut on parler de skatepark ???? ici on dira trotinette-park. Encore un skatepark choisi sur catalogue par des élus avec des enfants sans expérience dans le domaine.

Rappelons que la norme HQE: HAUTE QUALITÉ ENVIRONNEMENTALE comprend des éléments sanitaire, hydrologique et végétale.
L'aluminium doit être porté à 2518,9 C° pour pouvoir être formé, ce qui est loin d'être écologique!!!!

Encore de l'argent public jeté par les fenêtres.

jeudi 3 décembre 2009

Marseille, un superbe skatepark indoor



Le monde du skate et du roller l'attendait depuis longtemps

Les riders sont ravis. Le nouveau Palais et son skate-park, « c'est bien, ça fait un spot de plus à Marseille, s'enthousiasme Mike Bonassi, champion local de roller. Il y avait un besoin réel par rapport à la hausse du nombre de pratiquants. » Principal avantage pour les riders, le Palais est couvert, donc idéal pour l'hiver quand il y a du mistral. « Il manquait un big à Marseille », rappelle aussi Mehdi Salah, skateur marseillais. A savoir une rampe pour faire des sauts. Celle du Palais sera l'une des plus hautes d'Europe culminant à 4 m. Autre avantage du nouveau skate-park, il a été conçu par un skateur, Stephane Flandrin. « Avant, des boîtes cherchaient à se faire du fric en vendant aux collectivités des structures en préfabriqué mal conçues qui étaient désertées en une journée », se souvient Mehdi.
Au Palais, il a été prévu une aire de street, reproduisant l'environnement urbain. Le bowl, installé à Borely (voir encadré) va-t-il être déserté, victime de la concurrence du palais ? « S'il y avait un skate-park par arrondissement, ils seraient tous pleins », rassure Stéphane Bouchet, moniteur de roller à l'Asgum, l'une des associations du Palais. Et le bowl, à l'image du skate-park de la Friche Belle-de-Mai, est un outil complémentaire. Un bémol quand même : « Rien n'a été fait pour le hockey sur gazon », regrette Stéphane Bouchet. Et une habitude à prendre : celle de payer 4,50 euros la session. « La plupart des skate-parks dans le monde sont payants », rappelle Mehdi Salah. W

et la ville de Cognac: 100 000 € pour 6 modules



Nous nous étonnons toujours de voir des mairies et des administrés accepté qu'un budget de 100 000 € soit alloué à 6 modules composés de quelques barres soudées entre elles pour constitué un skatepark obsolète, bruyant et inadaptés aux pratiques moderne. Pas vous ?





En tout cas Cognac met le paquet en gaspillant le budget (2ème poste le plus important pour la commune) en offrant un skate park modulaire.





Michel Gourinchas semble satisfait, mais pour combien de temps ? Pas trop, dès que se skatepark sera déserté ou abimé, il trouvera certainement les jeunes très ingrats et non respectueux.....La faute à qui ? A lui même, de ne pas avoir écouté les appels des vrais personnes d'expérience d'opter pour le tout béton.





Dommage pour les Cognacais!!!!

Photo de : Ph.A de la charente libre

mardi 24 novembre 2009

Nice se fait remarquer à nouveau pour un projet de skatepark






Nous ne savons pas pouquoi nous avons reçu ce lien, pour soutenir ou s'inquièter ?


Nice après son projet catastrophique modulaire, un groupe lance l'idée d'un skatepark béton sur la promenade des anglais. L'emplacement est idéal, l'idée excellente, le concept intéressant malgrés de nombreux défauts, on espère que le projet sera mis entre les mains d'un professionnel.


Toutefois, allez sur le blog du groupe et essayez de les aider à concrétiser positivement le projet pour que Nice, 5ème ville de France ne soit pas la 1ère ville catastrophe en terme de skateparks et se retrouve dans la galerie des horreurs de notre ami Sports des Villes.

vendredi 6 novembre 2009

Enlaidir et non embellir Martillac


Lu dans le Sud Ouest où il a fallu "7 ans de réflexion, de déceptions et espoir" pour dilapider 30 000 euros pour un skatepark modulaire. Il faudra certainement une année ou deux pour se rendre compte de l'erreur.
Notez le panneau en bas à gauche "Embellir" qui est triste à voir lorsque l'on sait qu'un skatepark de ce type est une vraie vérue pour l'environnement.

extrait de l'article:
"Martillac serait-elle vouée au chiffre 7 ? S'il a fallu sept ans de débats et de négociations pour assurer la modernisation du bureau de poste, il a également fallu « 7 ans de réflexion, de déceptions et d'espoir » pour que le skate-park souhaité par le Conseil municipal des jeunes voit le jour.

Cette « histoire laborieuse » a été retracée avec beaucoup d'humour par Christine Buoro, en charge de la commission jeunesse. Adopté au budget 2009, réalisé par la société Cazeaux d'Andernos, le skate-park est opérationnel. La ténacité a donc payé.

Situé devant les nouveaux ateliers municipaux, dans la plaine des sports, le skate-park a coûté un peu moins de 30 000 euros et a bénéficié d'une subvention de 10 000 euros de la part du Conseil général. Satisfaits, à juste titre, de cette réalisation qui « permettra aux enfants de se rencontrer, de partager un projet commun, de faire l'apprentissage de la vie collective et du respect des autres », les élus et le public présents ont admiré les évolutions de l'association Léogliss sur la toute nouvelle aire bitumée. "

http://www.sudouest.com/gironde/actualite/langonnais/article/761015/mil/5328162.html

lundi 2 novembre 2009

Boussens dans le 31 : un skatepark fun ramp pas très fun a 40 000 euros

skatepark boussens

Un skatepark plus que basique comme l'on en vois malheureusement de plus en plus, des modules d'un autre age avec une esthétique inexistante. Les voisins seront ravis d'apprécier les fortes nuisances sonores provoquées par la structure en métal. Les pratiquants délaisseront cet équipement d'ici quelques mois... Tout a déjà été dis sur ce blog en ce qui concerne les skatearks modulaires...
Finalement pour expliquer aux novices, en gros c'est un peu comme si votre concessionnaire Renault vous vendait en 2009 une 4L au prix du dernier monospace.

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Et pour comparer ce qui est comparable voici ci-dessous la nouvelle mini rampe de la Batie Neuve dans les Hautes Alpes, 8 mètres de large, tout en béton pour un prix bien inférieur au skatepark de Boussens.
Un équipement solide demandant peu d'entretien, attractif car on ne trouve pas de rampes de 8 mètres de large partout et que cette rampe est adaptée a tous les niveaux de pratiques, intégration a son environnement contrairement aux armatures de type échafaudages des structures métal...Les enfants, ados et adultes peuvent évoluer sur cet équipement.


photo tirée du blog http://sessionshautesalpes.blogspot.com

jeudi 15 octobre 2009

Solidaire avec un jeune skateur Niçois accidenté

paru dans

Tous solidaires du jeune César


Ils étaient plus de cinquante ados, autour de la mère de César, à poser pour lui en photo, hier après-midi, sur le forum Jacques-Médecin. « C'est la famille », clament-ils fièrement.

Juchés sur leur skateboard, pantalon large et bonnet vissé sur la tête, ils sont plus d'une cinquantaine rassemblés place Masséna, hier après-midi. Comme d'habitude ? Pas vraiment. Cette fois, les skaters se bougent pour l'un des leurs : César Santerre, 12 ans, heurté à la tête par le tram samedi près de la place Garibaldi. Sérieusement blessé, le garçon est toujours hospitalisé à L'Archet.

Alors Kent, Lucas, Garance, Clara et les autres, émus par ce drame, ont tenu à exprimer leur solidarité.

En posant en photo pour César. Une photo de « la famille », comme ils disent. Tous ont entre 10 et 18 ans, probablement pas beaucoup d'argent de poche, connaissent César depuis peu.

Mais ils se cotisent pour lui offrir un cadeau, sous les yeux émus de sa maman, Chantal Barallis-Cardillo.


« On ne quitte pas notre fils »



« Je suis vraiment touchée par cette mobilisation. Merci à tous ceux qui ont témoigné leur soutien », confie Chantal.


Depuis samedi, elle dort chaque nuit au chevet de César, en se relayant avec son père. « On ne le quitte pas une seconde. César est gavé d'anti-douleurs, stone, mais conscient. Il a un trauma crânien, une fracture à la tête qui lui vaut 30 points de suture, il a le rein fissuré, le foie touché... On ignore quand il sortira de l'hôpital. Mais il risque de subir d'autres opérations. »

Sur le forum Jacques-Médecin, les ados se pressent autour de Chantal, l'embrassent, l'encouragent.

À l'instar des camarades de César à Cimiez, au collège Henri-Matisse. Reste que sa mère ignore toujours les circonstances du drame.


« La rue, faute de skatepark »


Son fils s'est-il penché pour ramasser sa planche sur les rails ? Ses cheveux longs lui ont-ils masqué le tramway ?

C'est ce que plusieurs témoins lui ont rapporté. L'intéressé, lui, ne se souvient de rien.


« En tout cas, ce n'est pas un enfant des rues, comme certains ont pu le dire, mais un enfant pris en charge par ses parents », s'insurge Chantal, consciente de l'image de marginaux qui colle aux roues de ces jeunes. « Après le roller, il venait de se mettre au skate. Et faute de skatepark, il a fait comme tous les autres : il est allé dans la rue. »


Or dans la rue, ce sport n'est pas le bienvenu. Du moins, pas pour de nombreux passants.

En juin, un arrêté municipal et un dispositif anti-skate avaient tenté d'interdire les acrobaties place Garibaldi.

Sans parvenir à décourager ces adeptes. « Il leur faut un espace en centre-ville. Quant au tramway sur les places, c'est très joli, mais il faudrait sécuriser les voies. Avec des plots reliés par des chaînettes par exemple », insiste Chantal.

Pour que l'accident de César ait au moins servi à quelque chose.

ccirone@nicematin.fr



Nous avons une pensée particulière pour César et sa famille et croisons les doigts pour un prompt rétablissement.

Il me semble mal venu de de dire ou d'espérer que "l'accident de César ait au moins servi à quelque chose". Il aurait du ne pas avoir lieu, un point c'est tout.

Cela reviendrait à se demander combien d'accident sur la route il faudrait avoir avant que l'on installe des barrières de sécurité dans certaines courbes ?

Ah bon, il faut un quota ? NON, il faut une prise de conscience et ne pas négliger dans le cas du skateboard l'importance d'un lieu de qualité, sécurisé ou les jeunes peuvent rencontrer.

Lors du précédent article sur la manifestation des skateurs niçois, nous avions contacté la mairie afin de leur signifier l'importance d'avoir un skatepark à l'image de la rue et non à l'image d'une aire de jeu avec toboggans. Mais les élus sont certainement trop occupés dans d'autre sphères nationales pour se poser de vraies questions, d'être plus proche de la population niçoise....

mercredi 7 octobre 2009

Les skateparks modulaires sont des machines à polluer

Alors que la filière béton a dernièrement mis en place un certain nombre de normes qui ont contribué à fortement diminuer l'impact de la production du béton sur l'environnement permettant ainsi de considérer le béton comme un produit écolo inscrit dans le développement durable.

La filière de production composite qui propose pour nos skateparks modulaires des matériaux polluants.

Explications en prenant l'exemple des skateparks en HPL.

Le revêtement en plaque HPL (High Pressure Laminate)est constitué d'une série de couches en papier kraft, imprégnée d'une résine phénolique et une couche extérieure imprégnée de mélanine. Ensuite l'ensemble est trempé dans un bain de 150° C de résine thermique et traité sous haute pression (80 kg. /cm carré).

Décomposition des éléments:

- le papier Kraft est fabriqué à partir de pâte à papier de bois de résineux, pin ou sapin.

- la résine Phénolique est utilisée dans les applications nécessitant des propriétés de tenue aux feu et flammes imposées par les normes dans les transports civils. Elle est souvent constituée de carbone ou de carbure de silicium. Ces matrices sont déposées soit par dépôt chimique en phase vapeur par densification d'une préforme fibreuse. Elle peuvent être constitué de 47,5 % résine pétrolière.

- la mélanine qui sert généralement à colorer les matériaux peut, contrairement à ce que l'on pourrait croire, être plus dangereuse que prévue. Selon plusieurs experts des questions sanitaires et alimentaires, la mélamine, est une substance à faible toxicité. "C'est un produit très peu toxique, la preuve, on s'en sert pour fabriquer un tas de récipients et même des bols pour bébés" relève l'un de ces experts.
Bien que les enfants tombés malades en Chine après l'ingestion de lait contaminé à la mélamine n'ont pas souffert de problèmes toxicologiques, qui auraient pu se traduire par des atteintes du système nerveux ou des fonctions vitales, mais mécaniques : c'est la cristallisation provoquée par la mélamine, dont la solubilité est faible, qui a entraîné pour tous les bébés des difficultés rénales, dans quatre cas mortelles.

- Les résines thermiques à base de formol (résine epoxyde...) sont responsables de l'émission de composés organiques volatils polluants, les COV, nocifs pour la santé humaine. Elles sont largement employées dans l'industrie de fabrication des panneaux de particules, utilisés notamment dans le mobilier et le bâtiment, nous dit l'INRA.


Nous n'avons pas d'avis à donner ni même de conclusion à faire, juste un ensemble de constatations, que bien trop d'éléments du HPL sont d'une part nocifs mais en plus pratiquement pas recyclables.

vendredi 25 septembre 2009

Pour le skatepark de Douai, les jeunes se rebiffent.


Parue dans la voix du nord le 23 septembre 2009




Mordus de skateboard cherchent vrai « spot » pour s'entraîner

mercredi 23.09.2009, 04:52 - La Voix du Nord



| LOISIR |

Depuis deux ans, les fans de planche à roulettes de l'arrondissement ont un seul et unique lieu où exercer leur art : le parc de la rue de Flers, à Douai. Récemment, quelques Douaisiens ont mis sur pied un projet abouti de skate parc à l'Arsenal. Mais les plans sont toujours dans les cartons de la mairie.

PAR ÉLISE CHIARI

douai@lavoixdunord.fr PHOTOS « LA VOIX »

Les roulettes grondent sur le bitume. Le bruit sourd s'amplifie, puis plus rien. Un jeune vient de décoller sur son skateboard et, genoux fléchis, retombe d'un claquement brusque sur le « bump », sorte de soucoupe volante en béton. Non, non, ce n'est pas un remake de Harry Poter ni des Envahisseurs. C'est une scène classique de skateboard, comme on en voit presque tous les jours au skate parc de la rue de Flers, à Douai. Mais à écouter les mordus de glisse qui se trouvent là, on va bientôt jouer un film intitulé À la recherche du skate parc perdu.

« Avant, on avait un skate parc pas mal à Lauwin-Planque, mais il a été fermé », déplore Thomas Lhermite, skater de 18 ans. Trop de nuisances sonores, semble-t-il. Quant à celui de Cuincy, « il était en bois. Ce type d'équipement s'abîme très vite », poursuit le jeune Douaisien. Ne reste plus que le skate parc de la rue de Flers. Mais le « bump » commence à se gondoler et le « curb » (grand banc en béton) est trop grand. « L'arrondi est impossible à prendre. Ce skate parc n'a pas été conçu par une entreprise de skate, alors forcément, ce n'est pas adapté », constate Thomas.

Il y a deux ans, il a décidé de prendre les choses en main avec quelques amis. Ils réalisent des esquisses, contactent un architecte spécialité et prennent rendez-vous avec les responsables des espaces verts de la ville. Le lieu est tout trouvé, ce sera à l'Arsenal. « C'est un endroit où il y a de la place et peu d'habitations autour. » Sur 300 m², les skateurs, en étroite collaboration avec les espaces verts et l'architecte, organisent l'espace : ils envisagent un « quarter pipe » (sorte de mur incurvé à la verticale), un « craddle » (sphère en béton) des marches, un « handrice » (marches avec une rampe)... Avec ça, plus besoin d'aller à Lille, Valenciennes ou Arras.

À l'été 2008, les choses se concrétisent. « On avait plus qu'à avoir le feu vert pour construire. On avait même calculé pour que les bétonneuses passent sur le terrain. On a tout présenté au maire, passé une heure dans son bureau. Depuis, plus de nouvelles (lire ci-dessous) », soupire Thomas, qui estime qu'un vrai skate parc à Douai, c'est une sacrée aubaine. « On peut faire des contest (compétitions), ça ramène des sponsors, des têtes d'affiche du skate. » Thomas pousse même le raisonnement un peu plus loin : « Les parents auraient pu amener leurs enfants au skate parc et pendant ce temps-là, faire tourner l'économie locale en allant faire du shopping. »

mercredi 23 septembre 2009

La rampe de skate de SAINT PIERRE DE CHIGNAC n'est plus à la norme


Dans la banlieue rurale de Périgueux


Paru dans:


Skate. Le maire, Michel Bordas, avait demandé un contrôle de l'Apave (organisme certificateur) sur la rampe de skate près du lavoir. Et celle-ci n'est pas aux normes de sécurité. Trois arrêtés municipaux ont été apposés dessus pour prévenir du danger de son utilisation. Le Conseil municipal a entamé une réflexion soit pour la démonter et la déplacer ailleurs dans un endroit clôturé, soit pour la remplacer par une piste plus petite et plus facile à utiliser par les jeunes.

Ce que nous en pensons: Exemple typique de rampe modulaire qui coûte de l'argent au contribuable puisque la petite commune de SAINT-PIERRE-DE-CHIGNAC est obligée de faire appel à la Apave pour garantir de la norme.
Cette rampe est elle hors norme depuis le début ? cela peut être le cas, nous l'avons déjà signalé dans un article. La commune fait confiance au vendeur de matériel qui affirme garantir à la norme ses produits.

Cette rampe est elle devenue hors norme avec le temps ?

Dégradation, usure météorologique ou par la pratique, tel est le lot des rampes modulaires.

samedi 19 septembre 2009

Odos (65) : la mairie a demonté le skatepark

skatepark odos
Vous connaissez beaucoup de skateparks installés dans les bois? ça ne devait pas trop gêner le voisinage...
Et pourtant la nouvelle municipalité semble ne pas trop aimer le skatepark...
Après les bosses de bmx c'est les modules du skatepark qui ont étés retirés.
Le nouveau mairie n'a surement pas chercher a savoir si ce skatepark était connu dans toute la région, si il possédé un gros plan incliné construit par les locaux comme on en vois rarement dans une toute petite ville de 3000 habitants...
Un skatepark ça peut géner (modulaire = nuisances...), ça dérange...Le modulaire est la solution idéale lorsqu'il s'agit de tout enlever.
Et donc le skatepark d'Odos a disparu cet été surement plus vite qu'il n'avait poussé. Démonté par la mairie sans aucune explication alors qu'il était toujours fréquenté par de nombreux jeunes depuis ses débuts il y a 9 ans.
Si vous êtes dans le coin, nous ne pouvons que vous recommander d'aller demander des explications à la mairie et de penser au béton la prochaine fois sous peine de voir vos efforts disparaitres au prochain maire élu.
Source photo : http://spotdeskate.skyrock.com

vendredi 28 août 2009

Papeete: les jeunes skateurs dans la rue veulent un skatepark de qualité








Une trentaine de skateurs en colère, dont le plus jeune avait douze ans, ont investi hier la mairie de Papeete, et ont occupé la salle du conseil municipal pendant deux heures, avant que leurs porte-parole puissent être reçus par le chef de cabinet du maire, Steeve Peni. Vers 13 heures, ils étaient en effet des centaines, comme chaque mercredi, à se réunir sur le parking de l’Assemblée, garçons et filles. Autour de la statue de Pouvanaa a Oopa s’enchaînaient les figures libres et les acrobaties rythmées par la musique hip hop émise par des Ipods branchés sur amplificateurs. Une voiture de police municipale est venue interrompre ces jeux et, pour reprendre l‘expression de l’un desmuto’i, “les dégager”.



Pour l’un des rideurs, à qui l’on avait confisqué la planche quelques jours plutôt, ce fut trop. L’échange de propos fut bref. “Dégagez !” Et tandis que la plupart évacuaient le parking tranquillement, des noms d’oiseaux ont commencé à s’échanger. “Si vous n’êtes pas contents, allez vous plaindre à la mairie”, leur ont proposé les policiers municipaux. Et c’est très exactement ce qu’ils ont fait…
Vers 14 heures, un groupe d’une centaine de skateurs marchaient sur la mairie. Ils entrèrent dans le parc, pénétrèrent dans les locaux, et une trentaine d’entre eux investirent la salle du conseil municipal. “On veut voir lemaire !” Son chef de cabinet initia le dialogue et les invita à s’asseoir. Ils s’installèrent dans les fauteuils des conseillers et prirent la parole, dans le calme. Le plus jeune avait douze ans…

“On casse seulement nos skates”
“On veut que les ninjas cessent de nous chasser !”. “Faut nous rendre nos skates confisqués !”. “Faut réparer les skateparks, ils sont tous pourris, on se blesse”. “Faut que t’arrêtes de nous prendre pour des casseurs. On casse seulement nos skates, quand on ne nous les confisque pas !” “Faut que tu annules la loi qui nous interdit de skater en ville !” “La ville, c’est chez nous, on est dans la rue, le street c’est chez nous !” “On est des centaines. Tu veux qu’on revienne plus tard un peu plus nombreux ?”



Le chef du cabinet du maire a rappelé que le parking n’était pas un lieu pour faire du skate. Qu’il y avait plusieurs plaintes pour des voitures endommagées. Qu’il les comprenait. Que son fils lui-même était un passionné de planche à roulettes. “Avez-vous une association ?”, leur demanda-t-il. “Tu veux qu’on s’associe là ? Tout de suite, si tu veux !” Steeve Peni accepta de les recevoir, hors de la présence des journalistes, s’ils avaient des représentants.

Les gamins se regroupèrent autour d’une feuille de papier. Et désignèrent leurs représentants. “Nos porte-parole !” Ils furent reçus plus d’une heure dans le bureau très fermé du chef de cabinet. Prévenu par téléphone, le propriétaire d’un magasin de skate de la ville est arrivé entre-temps. Il sera reçu lui aussi par le chef de cabinet, sous la pression des gamins qui l’ont reconnu.

“Cela fait des années qu’il y a ce problème. Jamais rien n’est fait. Je connais ces gosses. Jeme doutais qu’un jour, il allait se passer quelque chose. Ils sont fiu !”, expliqua- t-il. Vers 17 heures, les porte-parole sortirent enfin. “On nous a pris nos numéros de téléphone. On devrait se revoir avec le maire.” Les gamins ont repris leurs skates et sont repartis. “On reviendra”. Rue Gauguin, trois ou quatre ne se privaient pas du plaisir d’y débouler en “ride”…

Lili Oop

Photographies Paskua

lundi 3 août 2009

Encore un pseudo fabricant de skatepark professionnel

skatepark inadapte
J'ai trouvé cette photo sur le blog du magazine de skateboard Soma, celle ci aurait pu se trouver dans un article de Beaux Arts magazine tellement cette chose ressemble plus a une installation d'art contemporain qu'a un réel skatepark.
A la limite dehors en plein soleil ça pourrait servir de barbecue en plein été tant le métal devient brulant.
En résumé cette structure comme beaucoup de ce type fleurissant dans notre pays est dangereuse et inadaptée et comme beaucoup d'oeuvres d'art a un prix trop élevée pour son usage.

samedi 1 août 2009

Belgique: Flémalle, exemple de fabrication de skatepark à suivre




Ils sont forts les belges, ne trouvant pas chaussure à leur pied,le collectif BRUSK prend les choses en main avec ses ateliers participatifs. On ne compte plus le nombre de skatepark (une douzaine, voire plus) où ils sont intervenus. Pas de place à la médiocrité du modulaire, tout est béton, variant courbes et street. Ils sont même intervenus en région Parisienne à Chelles.

voilà le début du chantier



A quand un mouvement généralisé en France ? N'est ce pas la preuve que les fabricants sont incompétents en Belgique ? (et beaucoup en France aussi). Voit on cela dans d'autres sports, tels que le foot, le basket, la gym ?






photos subtilisées au collectif brusk.....pour la bonne cause

mardi 28 juillet 2009

Jarnac: Skatepark bruyant


lu dans le www.sudouest.com

Roger, Robert et Oscar, piliers du camping jarnacais, veulent le calme avant tout. (photo jacques rullier)

« Nous avons donné en main propre à M. le maire de Jarnac une pétition pour exprimer notre ras-le-bol devant la discrimination entre nous, campeurs, qui payons taxes et redevances, et, à 20 mètres, les camping-cars qui ont eau, électricité, vidanges et stationnements gratuits », s'indignent Oscar, Robert et Roger, piliers du camping de l'île Madame et porte paroles des usagers.

« M. le maire a reconnu que c'était une erreur d'avoir fait là les bornes destinées aux camping-cars », poursuivent les plaignants qui ont d'ailleurs d'autres griefs. « Le skate-park la nuit, c'est infernal avec des bruits à 3 heures du mat ! Alors que nous sommes là pour nous reposer ! », ajoute les trois compères.

« C'est la municipalité précédente qui l'a établi ici et je reconnais volontiers que c'était aussi une erreur », leur a répondu Jérôme Royer. « Déplacer la station de ravitaillement des campings-cars ou leur installer un monnayeur, interdire le stationnement longue durée entre 20 heures et 8 heures, déplacer le skate parc, des rondes de gendarmerie, des solutions existent. Nous comptons beaucoup sur l'accueil du Pays jarnacais pour nous assurer des vacances tranquilles », concluent les portes-paroles des campeurs.

Le maire reconnaît que c'est un vieux débat entre campeurs et camping-caristes : « Le camping n'est que le reflet de notre société et il y existe les mêmes problèmes que dans nos villes. J'ai demandé aux services techniques, par une note, d'interdire l'accès aux véhicules des terrains de basket et du skate parc. Par ailleurs, c'est exact, le choix des emplacements n'est pas judicieux. De plus, chaque camping doit avoir un gardiennage pour faire respecter un règlement, mais les deux mondes du camping doivent apprendre à cohabiter », explique Jérôme Royer.

De futures animations

Outre les traditionnels repas des campeurs des 21 juillet et 4 août, il y aura cette année un marché en semi-nocturne, de 18 heures à 22 heures le jeudi 6 août. Une douzaine de producteurs locaux présenteront leurs produits. « C'est ouvert à tous et gratuit », ajoute Michel Rivet, gérant du camping.


***********************************************

Non, Monsieur le Maire la solution n'est pas de déplacer le skatepark, vous déplacerez le problème et retirer un espace de loisir au camping. Apportez des solutions en offrant à vos jeunes un skatepark en béton de qualité: O vandalisme, O nuisance, O entretien et 100% de satisfaction de riverains, de pratiquant et d'élus.

lundi 13 juillet 2009

fabricants de skateparks : quand les conseilleurs ne sont pas les utilisateurs

On se rappele tous du fameux skatepark Toulousain de pech david qui a défaut d'attirer les foules pour le rider avait fait rigoler des milliers d'internautes il y a quelques années.
L'exemple même du skatepark inutilisable qui s'apparente plus a une parodie qu'autre chose.
Le prix ferait peut être moins rire sachant que c'est avec l'argent du contribuable que les municipalités se font avoir avec ce genre de structures inadaptés
Nous avons retrouvés l'auteur du "crime" qui apparement sévit encore tel un "professionnel" sans scrupules :


Un projet de skatepark ? restez vigilants : la liste noire ici

vendredi 26 juin 2009

Skatepark de Belle-Isle /Chateauroux : “ difficile de progresser ”

Paru ce jour dans la nouvelle république:

















Les amateurs de roller, de skateboard et de BMX sont attendus, ce
samedi pour une compétition à Belle-Isle. Rencontre
avec des leaders castelroussins.


Le BMX, ça fait deux ans qu'Yvan le pratique régulièrement
avec ses potes au skatepark de Belle-Isle. Il est tombé accro
en regardant des vidéos, en lisant des magazines, mais surtout
depuis qu'il a essayé. Et ce ne sont pas quelques déplacements
de cervicales à ses débuts qui l'ont stoppé. Les
adeptes de ce sport recherchent des sensations, ce goût du
risque et cette montée d'adrénaline qui les incitent à
aller toujours plus haut.


Bon pour un début


Aujourd'hui, les jeunes
déplorent le manque d'infrastructures
dédiées
à ces disciplines à Châteauroux. « Le
skatepark de Belle-Isle convient pour commencer mais on ne peut pas
progresser avec
, confie Dimitri au roller. On a l'impression
de stagner. La pluie ne nous permet pas de nous entraîner,
les rampes sont trop glissantes
. L'été, quand
il fait chaud, c'est un vrai cagnard, il n'y a pas de point d'eau à
proximité. Et le soir, ça manque de lumières. On
aurait besoin également de deux rampes de lancement et d'une
fun-box. Si on veut évoluer, on devra bouger dans les grandes
villes. » Avec le club des Enfants du skate et du roller, des
jeunes se sont mesurés à d'autres concurrents à
travers la France. « Quand on arrive sur un site énorme,
on n'a plus les mêmes repères, on se sent vite perdu. »


Les membres de l'association réclament depuis une bonne
dizaine d'années un skatepark indoor, assez spacieux pour
réunir toutes les disciplines en un même lieu. «
Une telle structure nous permettrait d'organiser les championnats de
France et c'est l'un de nos objectifs », déclare Eric
Dimeck, éducateur sportif et responsable de toutes les
sections au sein du club. Histoire de rappeler quelques souvenirs aux
anciens qui ont décroché ce titre en 1998.


Claire Neilz




vendredi 19 juin 2009

Les skateparks de nouvelle génération - aménagement et urbanisme

"Lorsqu'ils se résument à une succession de modules préfabriqués posés sur une dalle en asphalte, les skateparks sont souvent délaissés par les usagers."
Le moniteur magazine juin 2009

fabricants skateparks
fabricants skateparks
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mercredi 27 mai 2009

Angoulême préfère "ghettoisé" son skatepark

lu dans la charente libre ( http://blog.charentelibre.com/journal/index.php?2009/05/26/3099-une-esquisse-pour-le-futur-des-rives-de-charente).

Le maire d'Angoulême a une étrange façon de répondre à la demande des jeunes pratiquants.

extraits: "Dans la seconde ZAC (une dizaine d'hectares au total, à Saint-Cybard et L'Houmeau), baptisée pour l'heure «rives de Charente», le maire entend «inciter les Angoumoisins à se réapproprier le fleuve». S'il remet sur le tapis la réflexion générale autour du tourisme fluvial, il annonce aussi un projet très concret: la «délocalisation», à Bourgines, du skate parc, installé depuis un peu plus d'un an dans un gymnase en bois flambant neuf, dans le quartier de Ma Campagne. Il a ainsi jeté son dévolu sur l'ancien camping municipal (26.000 m2), abandonné depuis 2002 et en piteux état. Il y a moins de trois mois, la ville disait pourtant travailler, pour ce site, à un projet de ferme pédagogique ou de guinguette (CL du 4/03/09).

«Il s'agirait d'un site ouvert avec des modules extérieurs, insiste Philippe Lavaud. A Ma Campagne, argumente-t-il, l'expérience du skate parc n'est «pas concluante»: les jeunes y viennent «très peu» («il préfère l'autre skate parc de l'agglomération, celui de Gond-Pontouvre»), les riverains du quartier se plaignent du bruit des planches à roulettes dévalant les modules («A Bourgines, on n'aura pas ce problème, le site est à bonne distance des habitations»). Il y a enfin un argument plus «social» à ce déménagement: «les cultures urbaines doivent se trouver en ville et non dans les quartiers d'habitat social pour éviter une stigmatisation des populations fréquentant ces lieux».


Ce qu'il faut comprendre c'est que plutôt que de répondre aux jeunes (non-votants) qui souhaitent avoir une structure en béton dans le style de Gond-Pontouvre (qui est loin d'être un sublime exemple, mais qui a le mérite d'exister), Mr Le Maire préfère répondre à la population qui pourrait râler et se manifester du fait des nuisances sonores en déménageant les structures.

Cela ne changera rien, si le skatepark est nul, il le sera tout autant ailleurs, cela sera même pire car il sera placer dans un endroit éloigné, caché des regards, propice au squat d'indésirables.

Mr Lavaud, sachez que les pratiquants de skateboard ou bmx font partis d'une population vieillissante et en age de voter aussi et que comme votre confrère se Nice, Mr Estrosi (cf un autre article du blog), vous pourriez bien vous retrouver avec une manifestation ou une pétition par des ados, ce qui ne serait guère plus glorieux.

Reprenez les choses en main, vous avez l'opportunité dans le Sud de faire appel aux meilleurs maîtres d'oeuvres dans les skateparks béton (Hall04 & Constructo)





mardi 19 mai 2009

Porte de Vanves, le skatepark développement durable


Ce n'est qu'une boutade, le skateparl de la porte de Vanves à Paris ne s'inscrit absolument pas dans le développement durable, ou alors dans le recyclage de canettes de Coca.
Peut on appelé cela skatepark ? Est il sécurisé, absolument pas. Les concepteurs ont une drôle de vision du mobilier urbain. Entre le rail qui descend les marches qui est à peine plus long qu'une planche, le muret côté droit de la largeur d'une planche ou le muret de descente à l'opposée de la plateforme (d'ailleurs comment est il utilisable ????). Qu'en pensez vous ?

lundi 27 avril 2009

Fin de vie pour le skatepark


Fin de vie pour le le skatepark de Saint-Sacrement, non pas qu'il soit détérioré mais il est simplement laissé à l'abandon des pratiquants qui ont préférés retourner dans la rue plutôt que de se trouver limité par ce type de structure.
Les paniers de basketball sont du plus bel effet pour éviter toute utilisation illégale de la mini rampe.

dimanche 12 avril 2009

Nice: Inauguration du nouveau skatepark et 1ère manifestation



Publié le 12 mars 2009 dans Nice Matin, Christian Estrosi peut se mordre les doigts d'avoir sous estimé les skateurs qui ont manifesté lors de l'inauguration de leur nouveau skatepark qui a couté 83 000 euros sans avoir consulté les pratiquants et écouté les doléances des associations.

Une inauguration qui tourne à la manifestation ! Hier matin, l'adjoint aux sports Gilles Veissière a dû renfiler son maillot d'arbitre pour calmer la colère des skaters (à gauche), très déçus du nouvel équipement qui leur est proposé (en bas à gauche). : Photo Patrice Lapoirie



« Un vrai skatepark pour la 5e ville de France ». Le message affiché sur la banderole n'a rien d'une annonce publicitaire. C'est de contestation qu'il s'agit. Oui, une mini-manif de skaters mécontents, hier matin, sur le plateau sportif Comte-de-Falicon (Nice-Nord), lors de l'inauguration d'un espace qui leur est dédié !
Drôle d'inauguration, donc. Au point que l'adjoint municipal aux sports, Gilles Veissière, doit renfiler fissa son maillot d'arbitre international pour désamorcer un problème local. À son arrivée, un attroupement s'est déjà formé autour de la directrice de territoire, en vive discussion avec la trentaine de skaters venus représenter la NASB (Nice association skateboard).
Equipement de quartier
Pourquoi râler, alors que la Ville livre un équipement de proximité de 83 000 e ? « Parce que ces structures ne sont pas adaptées, estiment Florent, Alex et Ryan. OK, ça part d'un bon sentiment. Mais le revêtement est rugueux, l'espace minuscule... Ils ne nous ont pas demandé notre avis. Résultat, sans le faire exprès, ils ont construit un truc... nul. »
Effectivement, il ne paie pas de mine, ce skatepark en service depuis novembre 2008. « Il n'y a pas de " big " rampe, OK. Mais ça reste un équipement de proximité », sourit Séverine Christ-Thomas. La multichampionne du monde de roller, embarrassée par la tournure des événements, découvre tout juste le park auquel elle a prêté son nom. « Cela dit, ça permet déjà de s'entraîner. Après, pour une pratique plus avancée, il faudrait d'autres installations. »
L'alternative Jean-Bouin
C'est précisément ce que réclame « Toto », le porte-parole des skaters. A côté du rollerpark créé en 2004 à Jean-Bouin, par exemple. « Jusqu'ici, l'accès nous est interdit. Or, il y a 2 000 à 3 000 m2, où on pourrait libérer un espace pour les skaters. »
Impossible, selon le président de la Ligue Paca de roller-skating. « On a bataillé pour obtenir Jean-Bouin, et il faut déjà refaire la dalle, affirme Eric Ferrando. Mais il semblerait que le député-maire ait un gros projet pour tout niveau de pratique. Vers Carras, ce serait très bien. »
En attendant, les jeunes skaters viennent aussi dire leur ras-le-bol d'être mal aimés, d'être délogés des places Masséna ou Garibaldi, leurs « spots » favoris. Alors, plutôt que de sortir le carton rouge, Gilles Veissière invite au dialogue : « Montez un petit comité, faites-moi des propositions. » Rendez-vous est fixé en mairie jeudi.
Christophe Cirone
Nice-Matin

mardi 7 avril 2009

Skate Park de Laon : les skateurs vont devoir patienter



Résumé de l'article paru dans l'UNION: "une entreprise, a priori, une qui se déclarait spécialiste du montage des modules de skate park gache tous les efforts d'une association locale et la mairie en montant une structure dont les deux plate-formes présentent des espaces de plus de 10 centimètres entre rambarde et aire de réception. Les différentes parties qui composent le module sont instables. Il est d'autant plus incompréhensible que la Mairie avait décidé d'augmenter sa dotation pour avoir un module neuf supplémentaire". Il est beau le professionnalisme!!!! et l'éthique, on en parle pas......






CHAT noir. Ou pire, malédiction. C'est un peu ce que les jeunes Laonnois, fans de skate et autres sports de glisse urbaine, doivent penser. Car ils ont découvert cette semaine, que le module qu'ils avaient été eux-mêmes chercher à Chelles, dans la banlieue parisienne, risque de ne pas s'offrir une seconde carrière à Laon. Pourquoi ?
« On a bavé devant le module »
« Nous avons mandaté une entreprise, a priori, une qui se déclarait spécialiste du montage des modules de skate park », expliquent conjointement Philippe Moizin, maire adjoint aux sports, Jean-Claude Senet, chef du service jeunesse, ainsi que Dominique Valissant et Jean-Loup Mathieu, en charge des équipements au conseil et à la ville. « Nous avions deux solutions : soit prendre le montage par nos services et avoir le risque de ne pas être dans les normes de sécurité. Nous avons donc opté pour le prestataire. »
Un budget de près de 10. 000 euros a été débloqué par la ville pour aider une association La sauce de skate, qui a toujours montré une motivation et un sérieux exemplaire pour le développement de ce skate park.
« Nous les avions vus arriver avec un projet déjà bien cadré, ce qui nous avait surpris et surtout séduit », se rappelle Philippe Mozin. Résultat, la mairie n'a pas été étonnée lorsque le club local a rapatrié de Chelles, un des meilleurs skate park français, un de leurs éléments, une « mini » (sorte de grand tube coupé à moitié, et qui permet de superbes acrobaties). Qui a patiemment attendu pendant un an et demi, couché près du skate parc. En attendant son montage…
« Nous l'avons vu se mettre en place il y a quelques jours, et puis, pratiquement aussitôt, apparaître des barrières de sécurité. On a bavé devant le module pendant plus d'un an et ensuite, il y a eu le prblème. » Que toutes les parties concernées, entreprises prestataire en première ligne, ont constaté en fin de semaine. Les deux plate-formes présentent des espaces de plus de 10 centimètres entre rambarde et aire de réception. Les différentes parties qui composent le module sont instables.
Résultat, le module a été interdit à la pratique. Au grand désespoir des membres de « l'assos », dont les éléments sont obligés de jouer aux policiers lors de certaines séances sauvages que s'autorisent certains inconscients. Lors de la réunion, parfois houleuse de la semaine dernière, un accord n'a pu être trouvé entre l'entreprise et les parties laonnoises (conseillers, services de la mairie et jeunes membres de l'association). L'entreprise va donc rependre ses deux plateformes, et la mairie, relancer un appel d'offres pour un nouveau module.
« Incompréhensible de la part de l'entreprise puisque la mairie avait décidé d'augmenter sa dotation pour avoir un module neuf », constate incrédule, Éric Martin, spécialiste local du skate et présent à la discussion. « L'entreprise doublait sa commande, à condition d'accepter un geste commercial. Ce qu'elle a refusé. » Et sans doute ne plus être crédible dans le nouvel appel d'offres qui va être lancé.
Stéphane Massé

mercredi 1 avril 2009

La norme est énorme au skatepark de Bédarrides



Bédarrides , qui comme les autres communes a opté pour le modulaire, encore faut il qu'il soit bien agencé. Effectivement, la mairie doit se croire à l'abris, sous couvert de la norme FN EN 14974.

Absolument pas, elle est sensée juste garantir la sécurité en limitant les longueurs (de réception et d'élan, entre les modules) et hauteurs. Mais certainement pas la qualité du produit, voire de la sécurité dans la pratique. Car les skateparks, tout comme les aires de jeux sont souvent utilisés d'une manière dont on (le constructeur) aurait pensé.

Donc dans le cas présent, les lanceurs (de fusées ???) sont entourés de seulement 2 mètres dits "de sécurité". Cela est bien insuffisant sachant qu'un skateboard fait dans les 70cm, un skateur 1m70, tout saut extérieur se révèlera dangereux à l'atterrissage. Je ne parle pas du reste dont le bon sens devrait sauter aux yeux des responsables.

Mais Mr Le Maire, en signant votre contrat, vous acceptez tacitement et vous devenez responsable de tout accident sur ce lieu inadapté (même avec un panneau d'avertissement).

mercredi 18 mars 2009

Le skatepark de Perpignan a le vent en poupe


Investissement pour rien à Perpignan car je suppose qu'après ce petit coup de vent le module a du se déformer. Je pense que le fabricant du skatepark n'a pas du venir le remettre en place et vérifier la sécurité. Donc dans ce cas c'est le maire directement qui est responsable de tout soucis suite à la remise en place par ses services ou un prestataire externe. Ces derniersn'étants certainement pas formés aux normes de sécurité. Il aussi une grosse question quand même: Où sont les points d'ancrage ?????? Pas la peine de rajouter une couche et de préciser que biensur avec le béton, pas de soucis....

jeudi 12 mars 2009

La Garenne-Colombes encore un mauvais skatepark


Regardez ce reportage et imaginez un instant que votre commune implante un terrain de foot avec des cages triangulaires en bois ou bien un terrain de basket en terre avec des paniers au diamètre si petit que le ballon ne peut passer au travers.
C'est en gros une façon de montrer qu'encore une fois ce skatepark est loin d'être d'aussi bonne qualité que ce reportage voudrait le faire croire. Il est facile de faire plaisir a un enfant de 8-10 ans et encore plus facile de lui demander son avis en connaissant d'avance sa réponse.
Encore une infrastructure inadapté et surfacturé, plus proche d'un parc pour enfant que d'un travail sérieux et de qualité.
Et vu son prix cela est plus que dommage.
Le métal qui compose ce skatepark est un élément plus que bruyant et qui ne s'accorde pas avec son environnement en matière d'esthétisme (contrairement aux dires des commerciaux de ces sociétés).
Combien de skateparks modulaires de ce type sont abandonnés par les pratiquants au bout de quelques mois seulement ?

lundi 9 mars 2009

fabricant skatepark inadapté : l'exemple a bannir

fabricant skatepark-skatepark inadapté-skatepark modulaire a bannir
Voilà l'exemple type de module de skatepark que beaucoup de pratiquants n'aimeraient ne plus voir dans leur commune.
Pas besoin d'avoir 30 ans de pratique pour imaginer que ce type de "lanceur" ne servira pas a grand chose vu sa faible largeur de type "allumette", sa matière métal spéciale brulures par fortes chaleurs et son esthétisme proche du néant.
Et pourtant ce type d'infrastructure existe bien et doit couter un prix que l'on ne préfère même pas vous divulger sous peine de refuser de payer ses impôts locaux.

vendredi 6 mars 2009

Exemple a suivre : skatepark de Saubion dans les Landes

skatepark saubion-saubion-fabricants skatepark-skatepark béton-hall04 skatepark
Les mauvais exemples d'infrastructures sont régulièrement évoqués sur ce blog et même si les bonnes réalisations sont plus rares, elles existent.
Prenons l'exemple du récent skatepark qui a vu le jour a Saubion une petite commune des Landes : un skatepark bien étudié en fonction du budget et d'un espace limités.
Le résultat est plutôt convaincant, bonne finition du béton, intégration dans l'espace, optimisation de l'espace...
Ce skatepark est plutôt complet pour moins de 500 m2 disponibles et convient a plusieurs niveaux de pratique.
L'entreprise qui a réalisé l'étude de ce projet sait de quoi elle parle car pratiquants eux mêmes, le skateboard depuis de nombreuses années.Un élément plus qu'indispensable à la réussite d'un tel projet .
Pour en savoir plus vous pouvez voir l'article dédié au skatepark sur le site de la commune : www.saubion.fr

mercredi 28 janvier 2009

On vous le disait....


Modulaire= Danger.


Choppé sur http://www.sk8.net/, le site de référence en skate en France, dispose d'un forum où l'on peut voir cette superbe photo. Certains maires prennent ils conscience de la responsabilité qu'ils engagent en acceptant de mettre des skateparks modulaires inadaptés ? Ils ont tout intérêt...

On devine le nom de la société: rhino.
J'attends plus qu'à connaître le nom de la ville pour aller faire des photos avant destruction.

mercredi 14 janvier 2009

Méfiez vous des contrefaçons

Certains ont bien compris le filon, le modulaire en plastique, inox ou cannette de coca c'est vraiment nul, c'est ainsi qu'ils se sont lancé dans le béton, pensant répondre idéalement aux attentes.














Que nenni!!! le soucis, c'est la forme modulaire, qu'elle soit en plastoc, béton, verre ou en or. La valeur d'un skatepark se juge sur ses qualités d'insertion dans l'environnement, sa créativité et non pas par la succession d'agrès posés pour un enchainement de figures acrobatiques, cabrioles et compagnie....















Alors, par je ne sais quel tour de magie, Récréation Urbaine se trouve récompensé par un prix d'Aménagement de l’Espace Public pour son skatepark quai des Chartrons.















Autant tout le travail de réaménagement des quais mérite un prix tant la valeur ajoutée apportée par l'architecte est considérable. Rappelons que les quais étaient essentiellement constitués de parkings sauvages, entrepôts, squats: lieux de rendez vous pour la prostitution féminine et masculine.
Pour autant le skatepark, bien qu'il ait dynamiser la scène comme jamais on ne l'a vu en France, il est une vraie vérue sur les bords de la Garonne. Mal pensé, avec une aire d'acrobatie modulaire très laid, mais avouons qu'elle correspond à la pratique des rollers et bmx, une aire de street en béton et simili granit trop petite, c'est au niveau du bowl que le bas blesse. La société FUN RAMP sous la directive du maître d'oeuvre de Récréation Urbaine a installé des structures de piètre qualité, très mal entretenues, les modules ont bougés, des plaques sautent, on a recollé à la va-vite au mastic, le revêtement est glissant à la première rosée. il n'y a aucune créativité dans ces structures.
Il n'y a aucun bon sens dans cette implantation surtout pour le budget utilisé. Le seul bon sens vient à mon avis de la part de l'équipe d'Alain Juppé qui a opté pour du modulaire afin de pouvoir détruire le skatepark si la mode des pratiques passerait.
Ce n'est pas le cas, il y a du monde dans ce park en permanence, on compte plus que sur la clairvoyance d'Alain Juppé pour faire évoluer la chose dans le bon sens, à l'Américaine en faisant un skatepark béton construit par Dreamland, Teampain ou PTR.....Surtout pas par des Français....


Pour information, j'ai essayé de contacter http://www.territoria.asso.fr/ afin de connaître leurs compétences pour juger la qualité d'un skatepark dans l'aménagement d'un espace public et simplement discuter du prix, apporter une lumière sur le milieu. Ils n'ont pas souhaité répondre à mes demandes....





vendredi 2 janvier 2009

panneau règlement skatepark fabricant

skatepark-soumoulouRien que la lecture du panneau de règlement en dit long sur les compétences de l'entreprise en matière de skateparks "skate-board" "snake board" il ne manqué plus que le fameux hoover board du film retour vers le futur et dans la lignée le hoola hoop aussi.

C'est sur fabriquer des jeux pour enfants, abris d'autobus ce n'est pas la même chose qu'un skatepark qui lui demande une réelle sensibilité de pratiquant.
Encore une petite commune qui a payé le prix fort pour un équipement qui lassera bien vite ses utilisateurs.