mardi 25 mai 2010

Georges Agonkoin, champion sans skatepark à sa mesure

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Petit article qui met en évidence que la pratique du skateboard n'est plus de l'odre du jeu, mais du sport professionnel.
Quid du Jeune Georges qui gagne à peine sa vie en étant multi champion à un moment où nos chers footballeurs se plaignent de ne recevoir à peine 400 000€ s'ils gagnent la coupe du monde. Je pense que s'ils perdent ils gagneront certainemet plus que Georges Agonkoin en une carrière....En attendant il n'y a toujours pas de skatepark à la mesure de ce sympathique skateur professionnel.
Source: nice matin

Equipement. Ce Cagnois de 27 ans fait partie de l'élite française des skateurs. Qualifié pour les championnats du monde, il s'entraîne dans la ruePrénom : Georges. Nom : Agonkoin. Signes particuliers : une mâchoire cassée, un poignet brisé et de nombreuses entorses...
« Ce n'est pas grand-chose en quinze ans de skate » s'excuse presque ce grand gaillard. Avec un flegme à toute épreuve et beaucoup de souplesse, il est capable de glisser sur une rampe d'escalier ou de voler, avec sa planche, au-dessus d'une dizaine de marches. Sans chuter ! Enfin le plus souvent.
Ce Cagnois est champion de skateboard. Mais sans skatepark où sérieusement s'exercer. Une sacrée performance.
« Depuis la fermeture de celui des Jaquons, à Saint-Laurent, je ne sais plus où aller. Il y a celui de Cagnes, mais il est bien pour s'amuser. Pas pour skater en professionnel. Dans la région, il n'y en a pas d'autre... Peut-être celui de Mandelieu, en béton. Non, les Jaquons, c'était le seul bon » se désole ce sportif à la carrière bien remplie. Deux coupes d'Europe dans la poche, une place de 8e au championnat du monde cet été, et le titre de champion de France remporté il y a quelques semaines à Marseille. Georges fait partie de l'élite française.
Une figure qui monte. Mais il reste une star méconnue en dehors de la petite société des skateurs. « Je fais une carrière professionnelle. Je vis avec l'aide de sponsors » explique ce Cagnois de 27 ans. Il est très loin de gagner les sommes folles des footballeurs ou tennismen.
Mais a la chance de « bouger à travers le monde » pour participer à des vidéos, ou des séances photos. C'est sa liberté. Sa vie.
Dernièrement, il glissait dans les rues de Hong Kong. Pro depuis cinq ans.
Les mondiaux au bout des roulettes
Sur une de ces dernières vidéos on peut le voir enchaîner les tricks (ou figures) sur le bord de mer cagnois. « J'y vais régulièrement. Ou alors, je vais skater dans la rue, mais les gens qui me croisent pensent que je suis un voyou. Alors, quand je leur explique que je travaille... Ils ne comprennent pas » sourit ce grand gaillard.
Sa force ? À part celle physique, il reconnaît qu'il ne « stresse pas » en compétition. « Tout est dans le mental, même s'il faut avoir de bonnes jambes pour sauter et faire décoller le skate. Il n'y a pas d'aimant ni de colle sur la planche » rigole-t-il.
Cet été, il participera aux championnats du monde... « Mais je veux m'entraîner avant. Enfin, je ne sais pas encore comment. Dans ces conditions, si je fais une place, ce sera un miracle ».
Georges Agonkoin ne semble pas plus s'en faire que ça. Il sourit et repart comme il était venu. Avec sa planche de skateboard sous le bras. No stress !

Frédéric Delmonte

Nice-Matin

dimanche 23 mai 2010

Blois: "Le skate parc actuel est dans un tel état de vétusté"

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Quand les jeunes jouent entre laliberté de pratiquer le skate et la loi, par manque de bon skatepark...cela donne une cohabitation avec les forces de l'ordre plus que précaire.


Est il normal de verbaliser des jeunes pratiquants à qui on offre pas de bonne structure ? Peut être que le Maire de Blois préfère voir zoner les jeunes que pratiquer une activité saine ? ou permettre à des commerces dynamiques (comme Mighty Moe skateshop) de faire vivre la citée en organisant des évènements plus souvent....D'ailleurs ils le font mais sont obligés d'aller dans des villes voisines.



ARTICLE DE LA NOUVELLE REPUBLIQUE


http://www.lanouvellerepublique.fr/LOISIRS/Sports-et-loisirs/Skate-parc-un-nouveau-site-probablement-mi-2011



Blois :


Skate parc : un nouveau site probablement mi-2011



Le parvis de la Halle aux grains a accueilli vendredi dernier le concours de skate faute de mieux. D'ici un an, un lieu spécifique devrait être consacré à ce loisir. - - Photo NR
L'endroit est, d'habitude, interdit aux planches à roulettes. Mais pour cette fois, la police municipale a été obligée de fermer les yeux et d'assurer le service d'ordre. « Le service de sport de la mairie nous a beaucoup aidés. Ils ont fourni les barrières et les policiers pour que ça se passe bien », raconte même Fanny Sarradin, de la boutique Mighty Moe skate shop, coorganisateur de l'événement. Le parvis de la Halle aux grains a, en effet, accueilli vendredi dernier un concours de saut en hauteur sur planche à roulettes, organisé par une marque de skate connue, qui faisait étape à Blois. 1.200 signatures pour un skate parcIl faut dire que la ville aurait été bien mal à l'aise pour accueillir un tel événement si elle n'avait eu recours à cet ultime subterfuge. Le skate parc actuel est dans un tel état de vétusté qu'il aurait été impensable d'y faire dérouler une compétition. « Les jeunes de Blois ont besoin d'un endroit pour le skate », rappelle Aubin Repinçay, président de l'association Skate addict. Avec son slogan « skate is not a crime », « le skate n'est pas un crime », elle essaie d'obtenir un lieu pour leur loisir. « Nous avons fait circuler une pétition, qui, aujourd'hui, a plus de 1.200 signatures, y compris de commerçants souhaitant nous voir skater ailleurs. Un projet a été adopté avec la mairie et on étudie des sites et plans possibles. Ce sera soit à côté de la gare, à l'ancienne Sernam, ou alors au futur complexe sportif. » « On veut se détacher de l'image de vandale. On se fait virer de partout avec des amendes à la clé », poursuit Aymeric Nocus, skateur depuis dix ans. En attendant mai ou juin 2011, date probable de livraison du nouveau skate parc, le parvis est redevenu zone interdite aux planches à roulettes, une fois la compétition terminée.
Diophante Tomo

La mairie de Pau va remplacer le skatepark du hameau par un parking

Photo : sicekatr

La destruction a été signé pour début 2011, une entreprise privée rachète cette zone qui deviendra un parking et un complexe sportif.

Ce groupe a pour but de montrer que les jeunes (et les moins jeunes) tiennent à garder ce genre d'endroit.

En plus d'être une structure propre à la pratique du skateboard, c'est aussi un lieu de vie.

La Mairie a tranché cet endroit doit disparaître mais on ne se laissera pas faire, nous voulons qu'une nouvelle zone bétonnée soit faite au Hameau ou à proximité.

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mercredi 19 mai 2010

île de Piot: le skate park à l'abandon


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Des modules trop vieux, un skate-park trop petit, et des risques d'accidents entre utilisateurs, rien ne va plus sur l'Ile Piot

"Pas de poubelles pour jeter les bouteilles d'eau ou les papiers, même pas un banc pour se poser... c'est quand même un peu la misère". Pour cette maman d'un accro de la planche à roulettes et du BMX, l'état du skate-park de l'île Piot (créé il y a 10 ans) laisse vraiment à désirer. Certes, il a le mérite d'exister, mais son utilisation quasi-quotidienne par de jeunes riders l'use prématurément. Les skaters, venus malgré le mauvais temps lors du "Jam session" finalement annulé (le 8 mai) n'ont pu que déplorer l'état des modules. "Les vis sortent des planches et crèvent les pneus de nos vélos, les structures bougent.." affirme un jeune utilisateur.



De 8 à 20 ans, les riders se côtoient
Au-delà de la vétusté des infrastructures se pose aussi celle de la cohabitation des riders. Sur le même lieu, souvent trop petit, s'entrecroisent vélos (BMX), trottinettes, rollers et skate-boards. Des pratiques différentes, des âges aussi. Le skate-park rassemble des âges multiples (de 8 à 20 ans) avec souvent des risques de collision entre riders. À l'évidence, dès que les beaux jours arrivent, l'endroit devient trop étroit.



Du programme (des municipales) à la réalité
Dans le programme de Marie-Josée Roig pour les municipales 2008 - qu'elle a remporté - on pouvait lire dans la rubrique "Le sport, pour tous, une réalité au quotidien", la création d'un skate parc de 3 800 m² (soit le triple de la surface actuelle) sur l'île Piot en concertation avec les usagers. Deux ans plus tard, toujours pas de skate-park. Aucune nouvelle réalisation, ni travaux ne sont d'ailleurs programmées pour 2010 et 2011, nous confirme-t-on en mairie.



Un projet de reconstruction d'OGR
Mais du côté des riders, on ne lâche pas le morceau. En 2008, l'association "OGR event" avait fait une proposition de projet pour la reconstruction d'un skate park d'environ 3 400 m² avec des niveaux différents. Et surtout pensé pour tous les utilisateurs. "Le skate park est en train de devenir un bike park", explique Bastien d'OGR. Comprenez que les modules ne sont pas tous adaptés aux skates, rollers et trottinettes. "Il faut tout reconstruire et que le nouveau park soit adapté aux nouveaux sports, poursuit Bastien. Quitte à ce qu'il fasse la même taille qu'actuellement, car si c'est pour remettre un coup de peinture et deux vis, c'est même pas la peine! Ce ne sont pas des modules d'occasions qui changeront les choses et amèneront de la sécurité. Et dire que trois constructeurs de parcs se trouvent à 50 km autour d'Avignon..."

Insalubre, inadapté, en mauvais état, pas de quoi en faire une fatalité non plus. "Ce que nous voulons, c'est faire la promotion de la région. Ce n'est pas le skate-park d'Avignon qui est seul en cause, mais la région Paca en général. Nous avons des pros ici et ils n'ont pas d'infrastructures pour s'entraîner". OGR event est depuis peu devenu une société pour être "plus reconnu et pris au sérieux". Mais l'asso est toujours là et ouverte au dialogue

Contact OGR : 06 68 05 51 79 ou ogr-eventlive.fr

jeudi 13 mai 2010

Le skatepark en métal de Saint Girons se dégrade et devient dangereux


Voici un énième exemple d'un skatepark acheté a prix fort sans aucune concertation avec des pratiquants expérimentés. Résultat un skatepark moche, inadapté et dangereux qui part en morceaux au bout de quelques mois.
Tout est a revoir ou plutôt a refaire en évitant cette fois de refaire appel a ce type d'entreprise de skateparks modulaires d'un autre temps afin d'éviter de gaspiller une fois de plus des milliers d'euros.
Source : http://skateboardattitude.over-blog.com/article-skatepark-saint-girons-50020707.html
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dimanche 9 mai 2010

Plouër-sur-Rance encore un skatepark bien triste à 100 000€ et personne ne bronche

Que dire d'un tel projet où l'on croit que les nuisances sonores s'arrêteront du fait d'une dalle en béton ??? Non Monsieur le Maire de Plouër sur Rance, se sont même plus les modules, de part leur caisse de résonnance (même s'ils sont fermés) qui feront l'effet grosse caisse de fanfare. Le voisinage, les piétons ou autres vont être content!!! Enfin, ils trouveront à juste titre du grain à leur moulin pour se plaindre. Le temps que ce skatepark de 100 000€ soit abandonné car les jeunes s'y ennuyeront rapidement.
Vos collègues avaient les bonnes cartes en main, vous avait fait le mauvais choix du gaspillage de l'argent public en investissant dans les mauvaises strucutres faussements évolutives.
copie de l'article d'Ouest-France
Les conseillers plouérais, réunis mardi soir, ont adopté le projet définitif d'implantation et de réalisation d'un skate-park. Depuis 2008, une commission réunissant trois jeunes adultes, des élus, l'animateur sportif de la commune et des jeunes de la junior association, s'est chargée d'étudier la faisabilité d'un tel projet. Fin 2009, la société The Edge de Saint-Jacques-de-la-Lande a été contactée pour la poursuite d'une réflexion plus technique, le lieu d'implantation définitif du projet dans la commune et le choix des modules pour une meilleure inscription sur le site.
Près de 100 000 €
Le bilan de la réflexion propose une implantation entre la salle omnisports et la salle de tennis. La conception de l'ensemble des modules permettra l'évolution sur le skate-park de trois activités : le skate, le roller et le BMX. Deux propositions ont été présentées hier soir : l'une sur une dalle béton (98 779 €) et l'autre sur un enrobé (81 484 €). La préférence a été nettement à l'avantage de la dalle béton pour sa robustesse. Ce type de revêtement, qui est moins bruyant pour les riverains, est mieux adapté aux différentes pratiques.
Par contre, en matière de coût, le conseil municipal a souligné une notable différence de prix (14 400 € de plus pour la dalle béton). Le financement de l'opération est assuré par le contrat de territoire à hauteur de 37 680 € et par un autofinancement communal de 61 000 €. Le projet a été soumis au vote du conseil. Le projet de dalle béton a été retenu par 11 voix pour et 10 contre.

mercredi 5 mai 2010

Tarbes n'a pas le nez, ce n'est pas le cas à NAY

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Alors que l'on parle juste de tarbes qui n'écoute pas ses jeunes, un appel d'offre paru dans le Sud Ouest nous apprend que la ville de Nay va construire un skatepark.

A chercher l'info, on apprend que c'est ni plus ni moins Monsieur Jean Baptiste Picot de Hall04 & Cie qui a dessiné ce park.

La boucle est presque bouclée, la commune de NAY a tout compris: du béton, un bon maître d'oeuvre, une bonne écoute des associations et des jeunes et pour 80 000€, les jeunes et les moins jeunes seront heureux d'avoir le premier skatepark béton de la Région.

Nous irons vite le tester, mais nous sommes certain de la qualité et du succès de ce skatepark.

AndyMac - SMP Skatepark - Shanghai, China



Le plus grand skatepark béton au monde se trouve en Chine!!!!!

mardi 4 mai 2010

Skatepark dangereux et inadapté : la mairie de Tarbes n'écoute pas les pratiquants

Comme souvent encore une mairie qui crois mieux que personne ce qui est bon pour les pratiquants et s'entête a dépenser de l'argent pour entretenir un skatepark dépassé au lieu d'investir dans du durable.
J'ai oublié de préciser de laisser vos réactions courtoises bien entendu à cet article
Voici une photo pour mieux illustrer la situation

Tarbes. Dégradé, le skatepark provoque des chutes

Paru le 04/05 dans la Dépêche

http://www.ladepeche.fr/article/2010/05/04/828572-Tarbes-Degrade-le-skatepark-provoque-des-chutes.html


Situé aux abords de la bourse du travail à Tarbes, le skatepark connaît une grosse activité. Équipes de skate, de VTT ou de rollers, les jeunes viennent de Tarbes mais aussi de l'agglomération tarbaise, seuls ou accompagnés de leurs parents pour les plus petits. Mais l'état des équipements vient contrarier l'évolution de ces passionnés. « La rampe est dangereuse : il y a de gros trous, les deux-roues se bloquent et on part en avant au risque de chuter lourdement et de se blesser », explique Guillaume, jeune pratiquant de skate de 14 ans.

C'est ce qui est arrivé à Axel et Antoine, le premier a chuté et s'est « cogné sur les dents », le second souffrant « d'une grosse entorse ». Mais aux trous constatés sur le contre-plaqué qui se désagrège et finit par sauter, il faut ajouter l'absence de nombreuses vis sur toutes les installations qui font que les revêtements en contre-plaqué ou métalliques ne sont plus maintenus, se soulèvent et sont autant de sources d'accident pour les jeunes pratiquants. « Nous en avons parlé aux plus grands pour qu'ils avertissent le maire mais rien n'est fait », souligne un groupe de jeunes adolescents.

« Quoi qu'on fasse, cela se dégradera toujours. Le plan incliné a été refait il y a cinq à six mois, tout part à nouveau ; c'est la même chose pour la table », souligne Florian, qui vient exprès de Mascaras. Pour lui, l'idéal serait d'avoir des équipements en béton. « Dans le village d'Accous, dans les Pyrénées-Atlantiques, le skatepark a été réalisé par une compagnie de béton pour tester. Le béton, ça tient sur le long terme. Apparemment, cela n'aurait pas coûté très cher à la municipalité pour ce petit village de quelques habitants », assure-t-il.

Francis Touya, adjoint au maire de Tarbes en charge des sports, souligne que c'est « une installation sportive ouverte en permanence à tous publics. Elle est respectée et non dégradée. Le jury du journal ''L'Équipe'' a été surpris de voir son état, sans tag, ce qui confirme qu'elle est respectée ». Pour autant, il observe que le skatepark « coûte cher à la ville : chaque année, nous faisons le nécessaire pour qu'elle soit remise en état et sans danger pour les jeunes », dit-il. Les détériorations constatées proviennent, selon lui, « d'une activité qui ne devrait pas y être, celle des BMX dont les cale-pieds situés à l'arrière abîment le revêtement et créent ces problèmes ». Dans le cadre de l'entretien qui se fait chaque année, il assure que lesdites plaques « vont être changées cette année, pour une remise en état complète », ceci pour rassurer « tous les jeunes qui l'utilisent ».

Usure du temps, usure des matériaux, fréquentation importante, les rampes du skatepark sont très abîmées. Et les chutes et blessures se multiplient.


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Le chiffre : 12
423, 45> Euros. C'est le montant des travaux de réfection engagés au skatepark en 2009.

« Ce ne sont pas des dégradations qui ont été faites par les jeunes, mais elles surviennent dans le cadre de la pratique de cette activité. » Francis Touya, adjoint en charge des sports .


Mr TOUYA: Les jeunes ont 100% raisons. Le béton est plus adapté, il coût zero en entretien, zero en SAV, lors de chites, ça permet de glisser et non se raper....Qu'attendez vous pour consulter els associations spécialistes en conseil qui vous dirigeront vers les meilleurs entreprises ??????
Vous attendez peut être un blessé grave ?

Laissez le Jury de L'Equipe Magazine de côté, s'il s'y connait en foot et rugby, je doute que ça soit le cas en skateboard.